Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 19:09

P1000367

  Le 15 Septembre dans l`Eglise Catholique nous avons celebree la fete de Notre Dame des Douleurs. Elle est la patronne de la Congregation des Soeurs Franciscaines. Cette annee la Congregation des Soeurs Franciscaines de N.D des Douleurs celebre les 130 ans de sa fondation . Les soeurs des differentes communautes de la Province d`Auschwitz se sont rassemblees a la maison mere avec leur responsable Generale et les Soeurs Provinciales des autres Provinces pour rendre grace a Dieu en ce jour d`anniversaire fideles au charisme de leurs fondatrice mere Malgorzata Szewczyk aupres des malades et des pauvres.

La messe etait presidee par Mgr Tadeusz Rakoczy du diocese de Bielsko-Zywiec, et plusieurs pretres. Apres la messe les gens firent connaissance avec la fondatrice Malgorzata Szewczyk en suivant sa biographie en video.

Le repas pris ensemble a permis aux invites de se retrouver en famille dans la maison de la Mere Fondatrice et Celle du ciel- Notre Dame des Sept Douleurs.

 

 

P1000369

 

 

 

 

P1000356

 

 

P1000360

 

 

P1000365

 

 

P1000364

Partager cet article
Repost0
9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 15:34

logo_pl.jpg

 

 

wieliczka-239.jpg

 

link

 

 

logo2.jpg

http://www.kapucyni.pl/index.php/info/4391-kapitula-namiotow-dzien-i

Partager cet article
Repost0
9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 22:05
Czuwanie w Łagiewnikach - Adorować Jezusa Drukuj Email
Image IX Czuwanie z Ojcem Pio odbędzie się z 18 na 19 czerwca w Sanktuarium Bożego Miłosierdzia w Łagiewnikach. W związku z ogłoszeniem Jana Pawła II błogosławionym, będzie on drugim – obok Ojca Pio – jego patronem.

 

 

IX Czuwanie z Ojcem Pio i Janem Pawłem II

Kraków Łagiewniki, Sanktuarium Bożego Miłosierdzia

18/19 czerwca 2011

Hasło: „Adorować Jezusa”

Goście czuwania:
- o. Marciano Morra OFMCap, świadek życia Ojca Pio (San Giovanni Rotondo)
- Leandro Cascavilla (San Giovanni Rotondo)
- ks. Stanisław Szczepaniec (Kraków)

Program:

21.00 – Rozpoczęcie. Apel jasnogórski

21.30 – Konferencja: Adoracja w nauczaniu i życiu Jana Pawła II - ks. Stanisław Szczepaniec

22.15 – Konferencja: „Znajdziesz mnie przed Najświętszym Sakramentem”. Ojciec Pio, człowiek adoracji - o. Marciano Morra OFMCap

23.00 – Świadectwo: Dom Ulgi w Cierpieniu. Zobaczyć Boga w cierpiącym człowieku - Leandro Cascavilla

przerwa

24.00 – EUCHARYSTIA - homilia o. Marciano Morra OFMCap

przerwa

2.30 – Koronka do Miłosierdzia Bożego

3.00 – Procesja światła do kościoła w Centrum Jana Pawła II. Adoracja Najświętszego Sakramentu. Uroczyste błogosławieństwo

5.00 – Zakończenie. Możliwość indywidualnej modlitwy przy relikwiach bł. Jana Pawła II

 

Czuwanie na żywo w Internecie

Bezpośrednia transmisja z Czuwania w Radiu Ain-Karim

Dostępna w Internecie na stronie www.glosojcapio.pl

 

Goście Czuwania

o. Marciano Morra OFMCap
– świadek życia Ojca Pio, m.in. pracował w biurze korespondencji w San Giovanni Rotondo. Od lat jest sekretarzem generalnym Grup Modlitwy Ojca Pio. W Polsce gościł na kongresach Grup Modlitwy w Tenczynie i Czuwaniu z Ojcem Pio w Krakowie Łagiewnikach. Autor licznych książek i artykułów o Ojcu Pio i Grupach Modlitwy.

Leandro Cascavilla
– urodził się w San Giovanni Rotondo w Domu Ulgi w Cierpieniu w 1957 roku. Został ochrzczony przez Ojca Pio w małym kościółku klasztornym. Wychował się w głęboko wierzącej rodzinie, w której zrodziło się wiele powołań kapłańskich. Jego ojciec, Antonio Cascavilla, nauczyciel, był bardzo zaangażowany w życie Kościoła, a ostatnie dwadzieścia lat swego życia poświęcił Ojcu Pio – był członkiem komisji historycznej podczas procesu beatyfikacyjnego i redaktorem hiszpańskojęzycznego wydania czasopisma „Voce di Padre Pio”.
Leandro ukończył studia medyczne w Chieti. Uzyskał specjalizację z geriatrii i gerontologii w Poliklinice Gemelli w Rzymie. Od 1985 roku pracuje na oddziale geriatrycznym Domu Ulgi w Cierpieniu, obecnie jako ordynator. Żonaty, ma dwóch synów.
Kontynuując rodzinne związki ze wspólnotą kapucynów, od 1987 roku opiekuje się chorymi zakonnikami przebywającymi w infirmerii przy klasztorze w San Giovanni Rotondo.
5 maja 2010 roku abp Michele Castoro mianował go wicedyrektorem generalnym Grup Modlitwy Ojca Pio.

ks. Stanisław Szczepaniec
– dr teologii, znawca liturgii i wykładowca na Uniwersytecie Papieskim Jana Pawła II w Krakowie.
Był współorganizatorem papieskich pielgrzymek do Ojczyzny. W hołdzie Janowi Pawłowi II powołał m.in. Szkołę Modlitwy Jana Pawła II Totus Tuus, która funkcjonuje w ramach Centrum Jana Pawła II „Nie lękajcie się”.
Jeden z inicjatorów rodzącego się ruchu modlitewnego Adoremus. Tegoroczny laureat nagrody imienia bł. Jana Pawła II przyznawanej przez Stowarzyszenie „Chrześcijańska Europa”.

Image 

 

Partager cet article
Repost0
31 mai 2011 2 31 /05 /mai /2011 18:05

Les-prêtres polonais

 

Les-drapeaux polonais

 

Rencontre au cimtière

 

Pique-nique chez les pères Pallotins à Montmorency-28.05.2011

 

 

Les Polonais et leurs amis se sont rassemblés à Montmorency le dimanche 29 mai 2011 d'abord à la Collégiale pour une messe solennelle et ensuite ils sont partis en procession jusqu'au cimetière des Champeaux. A la fin dans la propriété des Pères Pallotins tout le monde s'est rassemblé dans un joyeux pique-nique sous un soleil splendide.

Cette année c'était le  175 ème  anniversaire de la mission polonaise à Paris

 Vous pouvez voir la galerie de photos de Mr.Janusz Halczewski sur ce blog .

Partager cet article
Repost0
17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 21:01

 

 

16042011043

 

" Hier, 16 avril 2011, une petite cérémonie a eu lieu dans la chapelle des sœurs franciscaines rue du marché à Montmorency. Claire a été admise à la pleine communion dans la communauté catholique. Ayant reçu un baptême trinitaire baptiste lorsqu’elle était enfant, Claire a, ce jour, professé sa foi dans la confession catholique. Elle fera sa première communion pendant la messe du jeudi saint, en doyenné, à l’église saint Louis de Deuil, et recevra le sacrement de confirmation avec tous les confirmands adultes du diocèse le 8 mai prochain au Hall saint Martin à Pontoise. Claire a cherché longtemps son Eglise, et c’est dans l’Eglise catholique qu’elle s’est sentie chez elle. Le bonheur de Claire faisait plaisir à voir. On la sentait émue, heureuse, entourée des sœurs de ND des douleurs, des sœurs réparatrices de Jésus Hostie, du père Rémy, de son parrain Bruno, et d’Eve qui elle aussi va faire sa première communion et sa confirmation. Après la cérémonie, les sœurs nous ont conviés à un petit déjeuner festif et convivial pris dans la bonne humeur. "TetE Funck

 

16042011041

Partager cet article
Repost0
9 avril 2011 6 09 /04 /avril /2011 21:22

DSCN2989

 

Le 7 Avril 2011 les Soeurs Franciscaines de Notre Dame des Douleurs se sont rassemblaient  pour une veillée de prière à Czestochowa auprès de la Vierge de Jasna Gora afin de fêter le 130 anniversaire de la  fondation de leur  Congrégation.

 

 

 

 

DSCN2981

Partager cet article
Repost0
29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 21:44

parvis-gentils-paris

 

 

 

Des milliers de jeunes et moins jeunes, une cathédrale ouverte et une prière continue avec la communauté de Taizé, des tentes abritant des débats et des échanges, une scène avec des concerts, danses, films et intervenants, le pape s’adressant à la foule… Des JMJ à Paris ? Non, ce vendredi 25 mars, seulement le « Parvis de l’Inconnu » clôturant le « Parvis des gentils » ! Dans une ambiance mêlant foi et prière, échange et fête, communion et émotion, la culture et la rencontre étaient les maîtres des lieux.

 

 

Parvis

 

 

 

Le Pape dans une courte intervention exhortait chacun à approfondir la raison d’un dialogue entre croyants et non-croyants, en invitant à faire tomber peurs et barrières. Il donnait pour conclure rendez-vous aux jeunes à Madrid en août. Pour les pères Laurent Mazas, du conseil pontifical pour la culture et François Bousquet, de l’Institut Catholique, malgré une évidente fatigue au bout de ce marathon de deux jours, cette première fut une réussite, et les interventions à l’Unesco, à la Sorbonne, à l’Institut de France et aux Bernardins ont été suivies par beaucoup sur KTO et radio Notre Dame. Dans la cathédrale, par centaines les personnes défilaient devant la Croix de Taizé, s’inclinant ou l’embrassant, déposant une bougie, une intention… Impressionnante file de visages, de sourires et de larmes… A 23h, la cathédrale s’embrasait, pour un son et lumière bouleversant, revisitant à travers l’histoire de ce lieu les Mystères de la foi, renouant ainsi avec une tradition médiévale oubliée. Le «Parvis de l’Inconnu» permit ce soir là à beaucoup de se reconnaitre et de se sentir aimé.

 

 

2

 

 

 

4

 

 

 

5

 

 

 

parvis2

P. Amaury Cariot Mars 2011


Partager cet article
Repost0
3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 16:39

kiermasz18

 

 

 

 

kiermasz20

 

 

 

 

Ils étaient nombreux les bénévoles pour organiser et préparer la rencontre de Marché de Noêl le samedi et dimanche 27 et 28 Novembre 2010. Traditionellement chaque année à cet époque la paroisse de Deuil la Barre prépare la fête de Noêl dans la joie. Ici on peut jouer, acheter, discuter, manger, et passer un moment agréable avec les gens de Deuil et des environs. On vous invite à regarder quelques photos ou vous pouvez vous retrouver. (Voir album photos) . Si vous avez manqué cette rencontre cette année, veuillez y penser l'an prochain.


kiermasz16

 

Liczne sa osoby ktore przygotowaly spotkanie wysprzedarzy Swiatecznej. W Deuil la Barre w dniach 27 i 28 listopad odbyl sie tradycyjny kiermasz parafialy gdzie mozna sie bylo spotkac, zagrac, cos kupic, zjesc i podyskutowac oraz spedzic przyjemnie popoludnie.Zachecamy do ogladniecia zdjec z tego swieta.(popatrz album foto)

Partager cet article
Repost0
22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 18:29

 

Kardynal Kazimierz Nycz 4666824 

« Les Cardinaux, a dit le pape Benoît XVI, ont pour fonction d'assister le Successeur de Pierre dans l'accomplissement de sa mission de principe et de fondement visible de l'unité dans la foi et de communion dans l'Eglise. »

 

 Quel est le rôle des cardinaux ?

Si la fonction la plus connue des cardinaux, qui date d'une décision du pape Nicolas II en 1059, est de se réunir pour élire le successeur du pape, ils ont aussi un rôle de conseillers du pontife dans le gouvernement de l'Eglise. Ce rôle s'exerce de manière quotidienne à travers les dicastères de la Curie romaine dont ils sont membres, et de manière plus occasionnelle lors des consistoires. Ils assurent collégialement la conduite de l’Église pendant la vacance du siège apostolique. Le titre de cardinal est porté à vie, mais l’activité des cardinaux est soumise à des limites d’âges. La direction d’un dicastère cesse à 75 ans révolus, mais le pape peut choisir de prolonger la mission de ses plus proches collaborateurs. A 80 ans révolus, un cardinal ne peut plus être membre d’un Dicastère, ni participer à l’élection du prochain pape. Le nombre des cardinaux électeurs a été fixé à 120 par Paul VI.

Qu’est-ce qu’un consistoire ?

C’est la réunion des cardinaux à la demande du pape lors de la nomination des nouveaux cardinaux ou pour se pencher sur une question particulière. En consistoire ordinaire, le pape approuve les décrets concernant la cause des saints.

Qu’appelle-t-on la barette ?

La barette est un petit chapeau porté autrefois par les clercs, et de couleur différente selon les ministères. La barrette rouge, que le pape remet au cardinal qu’il vient de créer, remplace aujourd’hui le chapeau rouge.

Pourquoi parle-t-on de couleur « pourpre cardinalice » ?

La couleur rouge pourpre se retrouve à la fois sur la tenue liturgique portée dans le chœur, sur la barrette que le cardinal reçoit lors de sa nomination, et sur la calotte et la ceinture. Elle signifie que celui-ci est prêt à servir jusqu’au martyre.

Partager cet article
Repost0
17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 14:14


chaines-saint-jean-de-maurienne-france-1014854632-1221267

La justice de Dieu s’est manifestée
moyennant la foi au Christ
(Rm 3, 21-22)

Chers frères et sœurs,

Chaque année, à l’occasion du carême, l’Église nous invite à une révision de vie sincère à la lumière des enseignements évangéliques. Cette année j’aimerais vous proposer quelques réflexions sur un vaste sujet, celui de la justice, à partir de l’affirmation de saint Paul : « La justice de Dieu s’est manifestée moyennant la foi au Christ. » (Rm 3, 21-22)

Justice : « dare cuique suum »

En un premier temps, je souhaite m’arrêter sur le sens du mot « justice » qui dans le langage commun revient à « donner à chacun ce qui lui est dû - dare cuique suum » selon la célèbre expression d’Ulpianus, juriste romain du III siècle. Toutefois cette définition courante ne précise pas en quoi consiste ce « suum » qu’il faut assurer à chacun. Or ce qui est essentiel pour l’homme ne peut être garanti par la loi. Pour qu’il puisse jouir d’une vie en plénitude il lui faut quelque chose de plus intime, de plus personnel et qui ne peut être accordé que gratuitement : nous pourrions dire qu’il s’agit pour l’homme de vivre de cet amour que Dieu seul peut lui communiquer, l’ayant créé à son image et à sa ressemblance. Certes les biens matériels sont utiles et nécessaires. D’ailleurs, Jésus lui-même a pris soin des malades, il a nourri les foules qui le suivaient et, sans aucun doute, il réprouve cette indifférence qui, aujourd’hui encore, condamne à mort des centaines de millions d’êtres humains faute de nourriture suffisante, d’eau et de soins. Cependant, la justice distributive ne rend pas à l’être humain tout ce qui lui est dû. L’homme a, en fait, essentiellement besoin de vivre de Dieu parce que ce qui lui est dû dépasse infiniment le pain. Saint Augustin observe à ce propos que « si la justice est la vertu qui rend à chacun ce qu’il lui est dû... alors il n’y a pas de justice humaine qui ôte l’homme au vrai Dieu »
(De Civitate Dei XIX, 21)

D’où vient l’injustice?

L’évangéliste Marc nous transmet ces paroles de Jésus prononcées à son époque lors d’un débat sur ce qui est pur et ce qui est impur : « Il n’est rien d’extérieur à l’homme qui, pénétrant en lui, puisse le souiller... ce qui sort de l’homme voilà ce qui souille l’homme. Car c’est du dedans, du cœur des hommes que sortent les desseins pervers. » (Mc 7, 14-15 ; 20-21) Au-delà du problème immédiat de la nourriture, nous pouvons déceler dans la réaction des pharisiens une tentation permanente chez l’homme : celle de pointer l’origine du mal dans une cause extérieure. En y regardant de plus près, on constate que de nombreuses idéologies modernes véhiculent ce présupposé : puisque l’injustice vient du dehors, il suffit d’éliminer les causes extérieures qui empêchent l’accomplissement de la justice. Cette façon de penser, nous avertit Jésus, est naïve et aveugle. L’injustice, conséquence du mal, ne vient pas exclusivement de causes extérieures ; elle trouve son origine dans le cœur humain où l’on y découvre les fondements d’une mystérieuse complicité avec le mal. Le psalmiste le reconnaît douloureusement : « Vois dans la faute je suis né, dans le péché ma mère m’a conçu. » (Ps 51,7). Oui, l’homme est fragilisé par une blessure profonde qui diminue sa capacité à entrer en communion avec l’autre. Naturellement ouvert à la réciprocité libre de la communion, il découvre en lui une force de gravité étonnante qui l’amène à se replier sur lui-même, à s’affirmer au-dessus et en opposition aux autres : il s’agit de l’égoïsme, conséquence du péché originel. Adam et Eve ont été séduits par le mensonge du Satan. En s’emparant du fruit mystérieux, ils ont désobéi au commandement divin. Ils ont substitué une logique du soupçon et de la compétition à celle de la confiance en l’Amour, celle de l’accaparement anxieux et de l’autosuffisance à celle du recevoir et de l’attente confiante vis-à-vis de l’autre (cf. Gn 3, 1-6) de sorte qu’il en est résulté un sentiment d’inquiétude et d’insécurité. Comment l’homme peut-il se libérer de cette tendance égoïste et s’ouvrir à l’amour ?

Justice et Sedaqah

Au sein de la sagesse d’Israël, nous découvrons un lien profond entre la foi en ce Dieu qui « de la poussière relève le faible » (Ps 113,7) et la justice envers le prochain. Le mot sedaqah, qui désigne en hébreux la vertu de justice, exprime admirablement cette relation. Sedaqah signifie en effet l’acceptation totale de la volonté du Dieu d’Israël et la justice envers le prochain (cf. Ex 20,12-17), plus spécialement envers le pauvre, l’étranger, l’orphelin et la veuve (cf. Dt 10, 18-19). Ces deux propositions sont liées entre elles car, pour l’Israélite, donner au pauvre n’est que la réciprocité de ce que Dieu a fait pour lui : il s’est ému de la misère de son peuple. Ce n’est pas un hasard si le don de la Loi à Moïse, au Sinaï, a eu lieu après le passage de la Mer Rouge. En effet, l’écoute de la Loi suppose la foi en Dieu qui, le premier, a écouté les cris de son peuple et est descendu pour le libérer du pouvoir de l’Égypte ( cf. Ex 3,8). Dieu est attentif au cri de celui qui est dans la misère mais en retour demande à être écouté : il demande justice pour le pauvre (cf. Sir 4,4-5. 8-9), l’étranger (cf. Ex 22,20), l’esclave (cf. Dt 15, 12-18). Pour vivre de la justice, il est nécessaire de sortir de ce rêve qu’est l’autosuffisance, de ce profond repliement sur-soi qui génère l’injustice. En d’autres termes, il faut accepter un exode plus profond que celui que Dieu a réalisé avec Moïse, il faut une libération du cœur que la lettre de la Loi est impuissante à accomplir. Y a-t-il donc pour l’homme une espérance de justice ?

Le Christ, Justice de Dieu

L’annonce de la bonne nouvelle répond pleinement à la soif de justice de l’homme. L’apôtre saint Paul le souligne dans son Épître aux Romains : « Mais maintenant sans la Loi, la justice de Dieu s’est manifestée...par la foi en Jésus Christ à l’adresse de tous ceux qui croient. Car il n’y a pas de différence : tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu et ils sont justifiés par la faveur de sa grâce en vertu de la rédemption accomplie par le Christ Jésus. Dieu l’a exposé instrument de propitiation par son propre sang moyennant la foi. »
(3, 21-25)

Quelle est donc la justice du Christ ? C’est avant tout une justice née de la grâce où l’homme n’est pas sauveur et ne guérit ni lui-même ni les autres. Le fait que l’expiation s’accomplisse dans « le sang » du Christ signifie que l’homme n’est pas délivré du poids de ses fautes par ses sacrifices, mais par le geste d’amour de Dieu qui a une dimension infinie, jusqu’à faire passer en lui la malédiction qui était réservée à l’homme pour lui rendre la bénédiction réservée à Dieu (cf. Gal 3, 13-14). Mais immédiatement pourrait-on objecter : de quel type de justice s’agit-il si le juste meurt pour le coupable et le coupable reçoit en retour la bénédiction qui revient au juste ? Est-ce que chacun ne reçoit-il pas le contraire de ce qu’il lui est dû ? En réalité, ici, la justice divine se montre profondément différente de la justice humaine. Dieu a payé pour nous, en son Fils, le prix du rachat, un prix vraiment exorbitant. Face à la justice de la Croix, l’homme peut se révolter car elle manifeste la dépendance de l’homme, sa dépendance vis-à-vis d’un autre pour être pleinement lui-même. Se convertir au Christ, croire à l’Évangile, implique d’abandonner vraiment l’illusion d’être autosuffisant, de découvrir et accepter sa propre indigence ainsi que celle des autres et de Dieu, enfin de découvrir la nécessité de son pardon et de son amitié.

On comprend alors que la foi ne soit pas du tout quelque chose de naturel, de facile et d’évident : il faut être humble pour accepter que quelqu’un d’autre me libère de mon moi et me donne gratuitement en échange son soi. Cela s’accomplit spécifiquement dans les sacrement de la réconciliation et de l’eucharistie. Grâce à l’action du Christ, nous pouvons entrer dans une justice « plus grande », celle de l’amour (cf. Rm 13, 8-10), la justice de celui qui, dans quelque situation que ce soit, s’estime davantage débiteur que créancier parce qu’il a reçu plus que ce qu’il ne pouvait espérer.

Fort de cette expérience, le chrétien est invité à s’engager dans la construction de sociétés justes où tous reçoivent le nécessaire pour vivre selon leur dignité humaine et où la justice est vivifiée par l’amour.

Chers frères et sœurs, le temps du carême culmine dans le triduum pascal, au cours duquel cette année encore, nous célébrerons la justice divine, qui est plénitude de charité, de don et de salut. Que ce temps de pénitence soit pour chaque chrétien un temps de vraie conversion et d’intime connaissance du mystère du Christ venu accomplir toute justice. Formulant ces vœux, j’accorde à tous et de tout cœur ma bénédiction apostolique.

Cité du Vatican, le 30 octobre 2009

BENEDICTUS PP. XVI


60611f3946f4faca628885b185e0c817-21-34.jpg

«Jawną się stała sprawiedliwość Boża (...) przez wiarę w Jezusa Chrystusa» (Rz 3, 21-22)

Drodzy bracia i siostry!

Każdego roku przy okazji Wielkiego Postu Kościół zachęca nas do szczerego przeanalizowania własnego życia w świetle wskazań Ewangelii. W tym roku pragnę wam przedstawić parę refleksji, dotyczących rozległego zagadnienia sprawiedliwości, obierając za punkt wyjścia słowa św. Pawła: «Jawną się stała sprawiedliwość Boża (...) przez wiarę w Jezusa Chrystusa» (Rz 3, 21-22).

Sprawiedliwość: «dare cuique suum»

Najpierw poświęcę trochę miejsca znaczeniu pojęcia «sprawiedliwość», które w języku ogółu jest tożsame z wymogiem, by «dać każdemu to, co mu się należy — «dare cuique suum», zgodnie ze słynną formułą Ulpiana, rzymskiego prawnika z III w. W rzeczywistości jednak ta klasyczna definicja nie precyzuje, czym jest owo «suum», które należy każdemu zapewnić. To, czego człowiek najbardziej potrzebuje, nie może być zagwarantowane przez prawo. By mógł on cieszyć się pełnią życia, potrzebuje czegoś głębszego, co może mu być dane tylko darmo; moglibyśmy powiedzieć, że człowiek żyje miłością, którą może mu dać jedynie Bóg, bo stworzył go na swój obraz i podobieństwo. Z pewnością przydatne są i konieczne dobra materialne — Jezus sam zresztą uzdrawiał chorych, karmił tłumy, które za Nim chodziły, i niewątpliwie potępia obojętność, która również dziś skazuje setki milionów istot ludzkich na śmierć z powodu braku żywności, wody i lekarstw — jednak sprawiedliwość «w rozdzielaniu» nie daje człowiekowi całego należnego mu «suum». Tak jak chleba i bardziej niż chleba potrzebuje on bowiem Boga. Św. Augustyn pisze: Skoro «sprawiedliwość jest cnotą, która każdemu przyznaje to, co mu się należy (...) nie jest sprawiedliwością ludzką ta, która odbiera człowieka prawdziwemu Bogu» (De civitate Dei, XIX, 21).

Skąd bierze się niesprawiedliwość?

Ewangelista Marek przytacza następujące słowa Jezusa, które się odnoszą do toczącej się wówczas dysputy na temat tego, co jest czyste, a co nieczyste: «Nic nie wchodzi z zewnątrz w człowieka, co mogłoby uczynić go nieczystym; lecz to, co wychodzi z człowieka, to czyni człowieka nieczystym (...). Co wychodzi z człowieka, to czyni go nieczystym. Z wnętrza bowiem, z serca ludzkiego pochodzą złe myśli» (Mk 7, 15. 20-21). Abstrahując od kwestii ściśle związanej z żywnością, możemy dostrzec w reakcji faryzeuszy stałą pokusę człowieka, żeby upatrywać źródła zła w przyczynach zewnętrznych. W wielu współczesnych ideologiach, jak dobrze popatrzeć, występuje ta przesłanka: skoro niesprawiedliwość pochodzi «z zewnątrz», to aby zapanowała sprawiedliwość, wystarczy usunąć zewnętrzne przyczyny, które uniemożliwiają jej urzeczywistnienie. Ten sposób myślenia — napomina Jezus — jest naiwny i krótkowzroczny. Niesprawiedliwość, owoc zła, nie ma jedynie zewnętrznych korzeni; rodzi się ona w sercu człowieka, w którym tkwią zalążki tajemniczej zmowy ze złem. Psalmista z goryczą uznaje: «Oto zrodzony jestem w przewinieniu i w grzechu poczęła mnie matka» (Ps 51 [50], 7). Tak, człowieka osłabia wewnętrzna siła, która ogranicza jego zdolność do komunii z drugim człowiekiem. Z natury swojej otwarty na swobodną wymianę z innymi, czuje, że dziwna siła ciążenia popycha go do zamknięcia się w sobie, do wybicia się «ponad» innych i «przeciw» innym: jest to egoizm, konsekwencja grzechu pierworodnego. Adam i Ewa, zwiedzeni kłamstwem Szatana, gdy wbrew Bożemu przykazaniu sięgnęli po tajemniczy owoc, zastąpili logikę ufności w Miłość logiką opartą na podejrzliwości i rywalizacji; logikę tego, kto przyjmuje, ufnie oczekuje na coś od Drugiego — logiką tego, kto niecierpliwie zagarnia i postępuje według własnego uznania (por. Rdz 3, 1-6), co w rezultacie napełniło ich niepokojem i niepewnością. W jaki sposób człowiek może uwolnić się od tej egoistycznej skłonności i otworzyć na miłość?

Sprawiedliwość i sedaqah

Mądrość Izraela oparta jest na głębokim związku między wiarą w Boga, który «podnosi nędzarza z prochu» (Ps 113 [112], 7), a sprawiedliwością względem bliźniego. Wyraża to dobrze sedaqah — słowo, którym w języku hebrajskim określa się cnotę sprawiedliwości. Sedaqah oznacza bowiem, z jednej strony, pełną akceptację woli Boga Izraela; z drugiej — sprawiedliwość względem bliźniego (por. Wj 20, 12-17), zwłaszcza ubogiego, przybysza, sieroty i wdowy (por. Pwt 10, 18-19). Obydwa te znaczenia są jednakże ze sobą powiązane, bowiem dla Izraelity dawanie ubogiemu to nic innego jak należne odwzajemnienie się Bogu, który ulitował się nad nędzą swojego ludu. Nie przypadkiem Mojżesz otrzymuje tablice z Prawem na górze Synaj po przejściu przez Morze Czerwone. Oznacza to, że przestrzeganie Prawa opiera się na wierze w Boga, który pierwszy «wysłuchał skargi» swego ludu i «zstąpił, aby go wyrwać z rąk Egiptu» (por. Wj 3, 8). Bóg słucha głosu nędzarza, a w zamian chce, by Go słuchano: domaga się sprawiedliwości względem ubogiego (por. Syr 4, 4-5. 8-9), przybysza (por. Wj 22, 20), niewolnika (por. Pwt 15, 12-18). Toteż aby żyć w sprawiedliwości, trzeba wyzbyć się złudzenia, że jest się samowystarczalnym, wyjść z głębokiego stanu zamknięcia, który jest źródłem niesprawiedliwości. Innymi słowy, konieczne jest «wyjście» w sensie głębszym niż to, którego Bóg dokonał przez Mojżesza — wyzwolenie serca, którego sama litera Prawa nie jest w stanie urzeczywistnić. Czy zatem człowiek może mieć nadzieję na sprawiedliwość?

Chrystus, sprawiedliwość Boga

Orędzie chrześcijańskie jest pozytywną odpowiedzią na ludzkie pragnienie sprawiedliwości, jak stwierdza apostoł Paweł w Liście do Rzymian: «teraz jawną się stała sprawiedliwość Boża niezależna od Prawa (...) przez wiarę w Jezusa Chrystusa dla wszystkich, którzy wierzą. Bo nie ma tu różnicy: wszyscy bowiem zgrzeszyli i pozbawieni są chwały Bożej, a dostępują usprawiedliwienia za darmo, z Jego łaski, przez odkupienie, które jest w Chrystusie Jezusie. Jego to ustanowił Bóg narzędziem przebłagania dzięki wierze mocą Jego krwi» (3, 21-25).

Jaka jest zatem sprawiedliwość Chrystusa? Jest to przede wszystkim sprawiedliwość pochodząca od łaski, według której to nie człowiek naprawia, uzdrawia samego siebie i innych. Fakt, że «przebłaganie» dokonuje się «mocą krwi» Jezusa, oznacza, że to nie ofiary składane przez człowieka uwalniają go od ciężaru win, ale gest miłości Boga, który otwiera się aż do końca, tak dalece, że bierze na siebie «przekleństwo», należne człowiekowi, aby w zamian obdarzyć go «błogosławieństwem», które należy się Bogu (por. Ga 3, 13-14). Natychmiast rodzi to jednak obiekcję: co to za sprawiedliwość, gdy sprawiedliwy umiera za winnego, a winowajca otrzymuje w zamian błogosławieństwo, które należy się sprawiedliwemu? Czyż nie jest zatem tak, że każdy otrzymuje przeciwieństwo tego, co «mu się należy»? W rzeczywistości to pokazuje Bożą sprawiedliwość, głęboko różniącą się od sprawiedliwości ludzkiej. Bóg w swoim Synu zapłacił cenę naszego wykupu, cenę naprawdę ogromną. W obliczu sprawiedliwości krzyża człowiek może się buntować, gdyż uwidacznia ona jasno, że człowiek nie jest istotą samowystarczalną, ale potrzebuje Drugiego, aby być w pełni sobą. Nawrócić się do Chrystusa, wierzyć w Ewangelię oznacza w gruncie rzeczy właśnie to: wyzbyć się złudzenia samowystarczalności, aby uświadomić sobie i zaakceptować własny brak — brak innych i Boga, potrzebę Jego przebaczenia i Jego przyjaźni.

Staje się zatem zrozumiałe, że wiara bynajmniej nie jest czymś naturalnym, wygodnym, oczywistym: potrzeba pokory, by uznać, że potrzebuję Drugiego, który uwolni mnie od tego, co moje, by dać mi darmo, «co mi się należy». Dokonuje się to zwłaszcza w sakramentach pokuty i Eucharystii. Dzięki działaniu Chrystusa możemy dostąpić «większej» sprawiedliwości, jaką jest sprawiedliwość miłości (por. Rz 13, 8-10), sprawiedliwość tego, kto w każdym przypadku zawsze czuje się bardziej dłużnikiem niż wierzycielem, otrzymał bowiem więcej, niż można się spodziewać.

Właśnie dzięki temu doświadczeniu chrześcijanin stara się przyczyniać do kształtowania sprawiedliwych społeczności, w których wszyscy otrzymują to, co konieczne, aby żyć na miarę własnej godności ludzkiej, i w których sprawiedliwość jest ożywiana przez miłość.

Drodzy bracia i siostry, uwieńczeniem Wielkiego Postu jest Triduum paschalne, podczas którego również w tym roku będziemy wysławiać sprawiedliwość Bożą, która jest pełnią miłości, daru i zbawienia. Oby ten czas pokuty był dla każdego chrześcijanina czasem prawdziwego nawrócenia i intensywnego zgłębiania tajemnicy Chrystusa, który przyszedł, by stało się zadość wszelkiej sprawiedliwości. Z tymi uczuciami wszystkim udzielam z serca Apostolskiego Błogosławieństwa.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Congrégation des Soeurs Franciscaines
  • : Congrégation vouée au service des malades,fondée en Pologne en 1881.Diffuse en permanence L'apostolat dans différents pays.
  • Contact

Bienvenue-Witamy

 Pieta-01.jpg         Bonjour à tous -Witamy         
Bienvenue à tous et à toutes .Merci pour votre passage sur notre site.La congrégation des soeurs Franciscaines de Notre dame des Douleurs oeuvre avec volonté et acharnement pour soulager et accompagner les plus meurtris par la vie,en leur prodiguant les soins physiques et spirituels nécéssaires à leur bien-être.

Dziękujemy wszystkim odwiedzającym nasze stronice internetowe za poświecony czas na przeglądnięcie artykułów i zapoznanie się z naszym posłannictwem i misją w Kościele. Zgromadzenie Córek Matki Bożej Bolesnej zgodnie z charyzmatem Założycieli stara się służyć i pomagać ubogim,chorym i cierpiącym.
Zgromadzenie świadome ogromu pracy w tej dziedzinie, przychodzi z pomocą potrzebującym. Podejmuje dzieła z przekonaniem i oddaniem aby w miarę możliwosci poprawić i stworzyć lepsze warunki życia człowieka. 

Centre de soins infirmiers

      
Centre de soins infirmiers des Sœurs

29, rue du Marché
95160 Montmorency
Tel:01.39.64.75.40


Permanence au Centre:
de: 12h à 12h30
      16h à 17h
      19h à 19h30
Soins infirmiers à domicile sur RV

Place des Victimes du V2

95170 Deuil la Barre

Tel :01.39.83.15.52

 

Permanence :

de :   12h à 12h30

et de: 18h à 18h 30
Samedi et Dimanche sur RV

Soins infirmiers à domicile

Sur RV

Messes à Deuil et Montmorency

Messes dominicales à Deuil la Barre
Samedi à 18 h à Notre Dame

dimanche à 9h.30 
en l'église Notre Dame
Place des Victimes du V2
à 11h
en l'église Saint Louis
10 rue du Chateau

 

Messes dominicales à Montmorency

samedi à 18h30 à la Collégiale

dimanche à 10h

en l'église St.François

à 11h15

à la Collégiale

Visit from 10/09/07